Que puis-je faire pour vous?
Depuis plus de 20 ans, j’ai consacré mon temps à répondre aux demandes d’aide de nombreuses personnes. Ma motivation ne réside pas dans une rétribution financière, mais dans le résultat positif des soins que je prodigue.
Originaire de Limoges, dans la campagne profonde du Limousin, j’ai grandi dans un environnement où les pratiques de guérison traditionnelles étaient courantes. J’ai eu la chance de croiser le chemin de plusieurs personnes énigmatiques, qui m’ont transmis les connaissances et les compétences nécessaires pour pratiquer la guérison par l’énergie invisible.
Je ne prétends pas détenir les secrets d’un grimoire, mais plutôt les connaissances qui m’ont été transmises lors de soins prodigués sur moi-même. C’est quelques années plus tard que j’ai réellement pris conscience du don qui m’habitait depuis ma naissance.
À l’âge de 6 ou 7 ans, j’ai vécu deux expériences marquantes, dont une douloureuse, qui m’ont conduit à rencontrer une vieille dame vêtue de noir. Elle m’a emmené dans sa cuisine enfumée par la cheminée et a effectué des incantations inaudibles, suivies de gestes et de signes religieux sur ma main brûlée. Après ce soin, elle m’a fixé du regard et m’a dit : « Mon petit, un jour, tu feras la même chose que moi. Sois patient. »
Depuis ce moment, j’ai senti une force considérable en moi, et vers l’âge de 9 ou 10 ans, j’ai commencé à ressentir des énergies puissantes à mes côtés. Cependant, j’ai gardé ces ressentis invisibles pour moi et n’en ai parlé à personne.
C’est à ce même age [9 ans], que je me suis retrouvé à la recherche de la dernière solution pour tenter de faire disparaître 45 verrues qui étaient enracinées sur mes deux mains, doigts y compris .
Ces 45 verrues à tête de brocolis étaient du haut de mes 9 ans très frustrantes avec cette sensations d’être sale.
La plainte permanente que je verbalisais décida ma mère a chercher le guérisseur qui pourrait trouver le moyen d’arrêter au minimum la propagation de ces verrues après moult traitement médicamenteux sans aucuns résultats.
Quelques jours passèrent , je me retrouvais dans une vieille ferme avec le seul maître à bord un vieux paysan aux yeux clairs et aux bacchantes grisonnantes pour seul de bruit de fond une télé dans la cuisine posée sur un meuble bancal.
D’une voix nasillarde et sans aucun soupçon il m’installa sur un tabouret au bout d’une table monastique en bois usée par les années passées et cette odeur très prenante de l’ancien.
J’avais les mains dans les poches avec la peur de la moquerie, lui me tendit la sienne lorsqu’il insista pour me saluer en serrant la mienne.
Le premier contact fut comme une sensation d’une perfusion, piquante, chaud très chaud , ce contact devait être obligatoire pour qu’il ressente les besoins de ma venue, ce que j’ai compris quelques années plus tard en le pratiquant aujourd’hui, le besoin de toucher, de ressentir l’énergie du corps extérieur comme intérieur. Toucher l’âme.
L’ancien me dit: « mon garçon tu as le sang noir ».
Prostré en attente de quelque chose de sa part je ne comprenais pas ce que cela voulait dire.
Suis – je normal ?
Il s’exprimait avec simplicité et bienveillance. Il prit mes mains dans le siennes les contempla pendant de longues minutes, puis commença sa ritournelle d’invocations tout comme la vieille dame il y a quelques années en arrières.
Il murmurait à haute voix , comme d’habitude toujours inaudible mais avec cette fois-ci une particularité qui ma marqué à jamais.
Ses incantations étaient dans une langue étrangère. Du latin ? Du patois limousin ? C’est encore ma question à ce jour.
Cette voix si nasillarde prit un tout autre ton, une sonorité roc, caverneuse, d’outre tombe, lorsqu’il me posa la question : « qu’elle est la première sorcière qui a poussée ? ».
D’un geste d’intimidation je me posais mon doigt sur celle [la verrue] qu’on appelle la MÈRE.
Il se leva en claudiquant puis fouillait dans sa poche de son pantalon bleu clair et y retira un bout de lard noir tout en marmonnant dans ses bacchantes il me dit : »Petio ( petit en patois limousin ) éprouve tu l’approche de l’orage ? Perçois tu les choses invisibles ? Te sens tu bien seul ? Vois tu des choses autour de toi ? »
« Oui », je répondais oui à ces 4 questions .
« Bien, dit-il , alors ce que je vais te faire tu le feras un jour mais différemment de moi ».
Au dessus de ma tête je reconnaissais l’écho de cette vieille femme qui quelques années auparavant s’était exprimé identiquement et avec les mêmes mots que cet inconnu qui n’avais toujours pas dévoilé son identité. Cette veille femme qui était sortie de ma mémoire se mit a raisonner en moi .
Pendant le soins il restait très absent, perdu dans ses pensées, dans sa lecture spirituelle que lui seul connaisait, peut être communiquait – il avec des êtres supérieurs, des spectres de famille, des entités du divin? Peu importe , rien ne semblait pouvoir le distraire, lui, son bout de lard et ses incantations.
Le soins se termina par la chauffe de ce bout de lard allumé grâce à un morceau de bois incandescent dans la cheminée, puis avec force il me le posa sur la MÈRE verrue et me dit :
« les petites sorcières mourront en premier , la MÈRE mourra à son tour de chagrin quand elle verra disparaître sa fratrie de brocolis » et se mit à sourire .
Avant de me dire au revoir, me fit faire la promesse de ne jamais rien dire du don qui m’avait été donné à ma naissance mais de m’en servir pour servir, (donner, recevoir ) de la haut …..
*Le sang évoque l’incarnation et la vie, le sang noir comme dit par l’ancien, évoque la colère , atrabilaire, la frustration de n’être pas entendu si jeune, par mes peurs, mes doutes, mes visions, mes ressentis sur les personnes. Je captais leur énergie dissocier, en dualité , une énergie de mal être. D’où cette colère qui me faisait viré mon sang. J’ai su très vite que cet homme parlait en terme spirituel.
Ce n’est qu’à l’âge de 24 ans, alors que j’exerçais en tant qu’aide-soignant, que j’ai commencé à prendre conscience de ce que la vieille dame et le paysan guérisseur m’avaient transmis. J’ai réalisé que je devais poursuivre cette transmission de prières et de gestes précis pour aider les personnes dans le besoin.
Depuis lors, je n’ai cessé de mettre en évidence ce don que j’avais mis de côté, mais sans jamais l’oublier. Parallèlement à mon activité professionnelle, j’ai consacré une grande partie de mon temps à mettre cette énergie chaude, que je ressens dans ma poitrine et dans mes mains, au service des autres.
Aujourd’hui, mes journées sont rythmées par les appels, les messages et les visites de personnes en quête de soulagement. Que ce soit par la force de l’intention positive de l’esprit ou à travers des prières, les résultats que j’obtiens continuent de m’impressionner.
Je suis honoré de pouvoir partager mon histoire avec vous et de vous faire part de mon engagement à aider les autres grâce à ce don qui m’a été transmis. Si vous avez des questions ou si vous souhaitez en savoir plus sur les soins que je propose.
Comment contacter Stéphane?
Mail : stephane.chastenet@icloud.com